L'ami(e) imaginaire
L’ami(e) imaginaire
Je t’entends dans la nuit quand tu frappes à mon cœur
Et que sonnent les soupirs qui assoupissent l’esprit
Comme un ange prés de moi en luciole de mes heures
De tes ailes qui enveloppent mon âme endormie
Je sais que tu n’existes que dans mes rêves d’enfant
Comme une réminiscence de l’innocence perdue
Et pourtant en mon âme tu bruisses ardemment
Car je le sais de toi je ne serai jamais déçu
Tu es cette part de moi qui ne veut pas grandir
Et qui s’attarde en vain sur les chemins d’enfance
Syndrome de Peter Pan ou angoisse de vieillir
Ami(e) imaginaire qui berce mon inconscience